DÉNONCER

La désinformation masculiniste a joué à plein régime la semaine dernière à l'occasion d'un post-X du Figaro sur l'étude CSF 2023.

Mobilisons-nous pour obtenir une LOI-CADRE dédiée à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

L'une des stratégies patriarcale la plus efficace est la diversion: détourner l'attention du bourreau et la focaliser sur sa victime.

Sélection de réponses à des tweets contenant des éléments de langage pertinents sur la question du consentement.

Focaliser les débats entourant le procès Mazan autour du consentement revient à adopter la stratégie de défense des agresseurs.

Le féminicide est un crime particulier en ce qu'il est l'aboutissement ultime d'un schéma de fonctionnement patriarcal.

L'introduction dans la loi de la notion de consentement n'est pas la panacée que l'on nous vend et pourrait se révéler contreproductive.

C'est au juge qu'il appartient d'invalider les stratégies de défense ancrées dans la culture du viol afin de les faire tomber en désuétude.

Présenter les viols comme des actes perpétrés par des monstres, est une stratégie d'invisibilisation des violences masculines.

Un des problèmes de la notion de consentement est qu'elle contribue à ancrer l'idée que la femme est un objet sexuel.

L'idée que la violence conjugale serait liée à une incapacité des hommes à gérer leur colère est une idée reçue dangereuse.

La très répandue rhétorique du vrai/faux viol contribue à banaliser l'écrasante majorité des viols qui se déroulent sans usage de la force.

Si la culture du viol s'exprime sans bornes sur les réseaux, le viol conjugal est le type de viol qui est le plus banalisé entre tous.

Toute minimisation du viol et des violences sexuelles subies par les femmes est en soi une violence.