DÉNONCER

Diviser les femmes pour mieux régner est une des stratégies les plus anciennes et efficaces du système patriarcal.

La désinformation masculiniste a joué à plein régime la semaine dernière à l'occasion d'un post-X du Figaro sur l'étude CSF 2023.

Mobilisons-nous pour obtenir une LOI-CADRE dédiée à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

La langage que nous utilisons façonne nos imaginaires et représente un puissant outil pour borner et façonner notre horizon.

Cette rhétorique manipulatoire du "choix" est très utilisée pour défendre l’exploitation des femmes: sexuelle, reproductive, domestique...

Le post de ce militant pro GPA utilise deux techniques de propagande: les appels à l'émotion et l'effacement de la femme mère porteuse.

La propagande en faveur de l'exploitation reproductive des femmes continue de s'étaler dans la presse comme sur les réseaux.

Critiquer le recours à la GPA n'est pas de la haine. La seule personne qui mérite des félicitations lors d'une naissance c'est la Mère.

L'idée que la violence conjugale serait liée à une incapacité des hommes à gérer leur colère est une idée reçue dangereuse.

La promotion de l'exploitation reproductive des femmes comme mères porteuses, bat son plein avec la complaisance des médias.

La rhétorique des "Daddy issues" est une manipulation qui vise à faire diversion et à faire taire les femmes pour maintenir le statut quo.

Les propos qui banalisent le fait de contrôler la vie et les actions de sa compagne sont graves et devraient faire l'objet de poursuites.

La prévalence de l'utilisation du concept misogyne de "Bodycount" illustre bien la forte pénétration du discours mascu PUA en France.

Plongée dans l'incohérence délirante de la pensée des mascus incels/redpill.

Ces discours de la célibataire malheureuse visent à saper l'émancipation des femmes et à nous remettre à notre place: la sphère domestique.

La promotion de l'abus émotionnel comme technique de "séduction" est monnaie courante chez les nouveaux "coachs en séduction" masculinistes.

Si la culture du viol s'exprime sans bornes sur les réseaux, le viol conjugal est le type de viol qui est le plus banalisé entre tous.

Ces tweets sont illustrent bien la recrudescence des discours déshumanisants et misogynes dans l'espace public notamment en ligne

Toute minimisation du viol et des violences sexuelles subies par les femmes est en soi une violence.

Autre exemple d'utilisation des médias par les transactivistes afin d'intimider des professionnels de santé et les rallier à la cause